Journaliste économique en première partie de carrière (Les Echos, La Tribune), spécialisée en RH-Management-leadership et psychologie du travail, SOPHIE PETERS a peu à peu bifurqué vers le coaching et l’accompagnement thérapeutique au gré de formations (Analyse Transactionnelle, Psychanalyse et Systémique) et
d’un travail sur elle-même.
Aujourd’hui elle a toujours un pied ou plutôt une voix dans les médias. Elle répond aux auditeurs en direct sur Europe 1 tous les week-ends dans la Libre Antenne de 23h à 1h.
Animatrice radio, coach et psycho-praticienne, elle est aussi consultante. SOPHIE PETERSi intervient en entreprise pour des missions
d’accompagnement en Qualité de Vie au Travail.
Elle a publié en octobre 2015 son premier ouvrage « Du Plaisir d’être soi » aux Editions François Bourin.
Un même chemin qui part de la curiosité et du désir de comprendre le monde dans lequel nous vivons, jusqu’à une ouverture vers de nouveaux modes de pensée, pour mieux accompagner les
transformations. SOPHIE PETERS s’inscrit résolument dans le courant de l’économie positive et le sens au travail. Que ce soit dans la
vie personnelle ou professionnelle, elle soutient le recours au libre arbitre pour amener des choix plus libres dans nos vies, à devenir libre de soi pour être en lien avec l’autre.
CONFERENCES
l’Art de l’écoute pour une qualité au travail retrouvée
Il y a ceux qui vous diront prêter une oreille attentive à vos propos mais qui vous laisseront le sentiment désagréable de ne pas être écoutés. Et puis d’autres avec lesquels vous serez surpris
de vous trouver sur la même longueur d’ondes. Les premiers n’écoutent pas. Ils entendent. En réalité ils laissent dire pendant qu’ils préparent tous les arguments à vous opposer. Les seconds
pratiquent, à la façon de Monsieur Jourdain, ce que les coachs appellent « l’écoute active ». « Active » parce qu’ils cherchent à comprendre activement ce que pense et ressent leur interlocuteur.
A quoi les reconnaît-on ? Comment s’assurer une bonne écoute sans entrer dans la caricature du bon élève qui, voulant montrer qu’il écoute, devient un as de la reformulation ? Quelles sont les
clefs d’une écoute offrant la qualité de l’échange ?
La bonne écoute au travail garantit les conditions d’un dialogue constructif dans lequel chacun des protagonistes estimera la parole de l’autre aussi importante que la sienne, et ce, quelque soit
son rang hiérarchique. Dans l’échange, on soigne la qualité du travail, on devient plus innovant, et motivé. Une conférence qui apprend l’art de l’Écoute et permet de donner du sens à ce qui s
échange et se vit au travail. Essentiel !
Retrouver le goût du travail ou comment s’y épanouir (malgré tout)
La France n’est jamais à un paradoxe près. Chez nous on aime son travail mais on en souffre. Entre amour et haine, entre espoir et illusion, les français entretiennent avec le travail une
relation passionnelle pour ne pas dire fusionnelle. Telle une histoire d’amour déçue, notre relation au travail est aujourd’hui empreinte d’un fol espoir d’épanouissement contredit de plus en
plus vivement par les conditions concrètes du travail et de l’emploi. Sans doute pour le réinventer faut-il aujourd’hui partir de cette si forte aspiration à la réalisation de soi. Qu’est-ce qui
nous permet de nous épanouir au travail ? Que voulons-nous y vivre et comment le vivre ? Comment conjuguer logique d’efficacité et logique d’épanouissement personnel ? A quelles conditions ?
Autant de questions auxquelles il nous est plus que jamais essentiel de répondre pour retrouver le goût du travail. Une conférence qui permet de sortir de la seule voie de la performance et
d’évaluer le travail pour ce qu’il est : un moyen de développement et de progression.
Apprendre à miser sur ses forces : pourquoi ? Comment?
Habitués à utiliser nos facultés intellectuelles pour pallier aux défaillances, nous omettons de considérer nos qualités et nos ressources. Dans l’univers des bureaux, l’impérieuse nécessité de
trouver une solution aux problèmes en tous genre nous a jusqu’à présent privé de chercher des ressources dans le positif, c’est à dire dans ce qui fonctionne bien. Le contexte de plus en plus
oppressant du mal-être au travail impose de reconsidérer le rapport entre les individus. S’appuyant sur l’émergence de la psychologie dite « positive », portée par Martin Seligman aux Etats-Unis
qui s’intéresse aux conditions et processus qui contribuent au fonctionnement optimal des individus des groupes et des institutions, il est désormais question de miser sur les forces des
individus plutôt que pallier leurs lacunes. Quelles sont-elles ? Comment les identifier ? Peut-on progresser sans se transformer ? Sur quoi s’appuyer pour continuer à tenir debout malgré les
tempêtes de l’emploi et du travail ? Des questions auxquelles cette conférence répond en mode constructif.
Développer l’empathie, un outil du « mieux travailler »
Le secret de notre sensibilité ne se trouve ni dans les neurones miroirs, ni dans des théories de compréhension cognitives comme on en fournit des tonnes aux managers, mais dans le fait de
renoncer à contrôler notre semblable et d’accepter qu’il puisse nous aider à nous comprendre nous-même. Notre Moi en se projetant dans le monde du travail, en s’ouvrant aux autres afin de se
réaliser, a besoin des autres pour évoluer, changer et s’accomplir. En thérapie comme en management, dès que l’on a affaire aux relations humaines, ce ne sont ni les idées, ni la vision, ni
encore les instruments qui importent le plus. C’est la relation et uniquement la relation. On se souvient rarement des grandes idées des uns ou des autres après un échange, mais on se rappelle
avec émotion la relation personnelle qu’on a eu avec cette personne. Comment alors réaliser ce type de connexion essentielle à notre épanouissement ? Cette conférence vous apportera les clefs
nécessaires au développement de l’empathie, une forme d’écoute bien particulière qui favorise des relations au travail moins toxiques et plus équilibrées.
Exercer son courage : levier d’épanouissement au travail
Le sujet de l’épanouissement au travail dans les conditions actuelles pose la question de la possibilité d’être heureux malgré les vicissitudes de la vie. Ou comment devenir plus lucide, moins
dans l’illusion et ne plus chercher à contrôler ce qu’en définitive nous ne contrôlons pas ? Comment changer ce qui peut l’être tout en comprenant que le résultat de nos actions ne dépend pas
entièrement de nous ? Comment envisager son existence davantage comme une expérience à vivre que comme un problème à résoudre ? En exerçant un formidable levier : le courage. En le décidant, le
courage nous fait agent et sujet de notre vie. Cette conférence ouvre un chemin et constitue une invitation à ne pas baisser les bras et à faire en sorte que le découragement n’aura pas le
dernier mot.
De l’urgence d’un bon usage du dialogue dans l’entreprise
L’exercice du dialogue et donc des négociations en entreprise, revient souvent plus à s’affronter au travers d’arguments, à pratiquer la contradiction en jouant sur les mots et à faire de la
querelle un art, plutôt que d’examiner les sujets, et de relier les discours pour produire un raisonnement commun entre les participants. Le conflit posé comme postulat du mode de relations
empêche l’émergence d’un intérêt commun. Comment dans ces conditions établir les bases d’un dialogue constructif ? Comment interroger un contenu dans le but de découvrir un angle de vue ? A
quelles conditions est-il possible de lâcher une posture de pouvoir pour aboutir à un objectif commun et surmonter les contradictions ? Comment ne pas se vivre en adversaires mais en partenaires
en sachant que la lutte est inévitable mais non moins sincère ? Cette conférence montrera comment le dialogue, exercice difficile et exigeant, qui ne nous est pas naturel, peut se révéler un
puissant outil d’innovation et de qualité de vie au travail, favorisant respect, reconnaissance, confiance et créativité. Et faire de l’espace social un autre lieu que celui du rapport de
force.
La conscience de soi : meilleur atout du leader charismatique
Le leadership traverse bel et bien une crise majeure si l’on en croit les résultats d’une enquête de l’Edhec Business School : 1500 managers français donnent une note de 5,5/10 au leadership de
leur supérieur hiérarchique. Peut mieux faire ! Mais pas là où on pouvait s’y attendre. Pour la majorité des répondants leur leader nourrit le sens du collectif, fait preuve d’intégrité, agit en
cohérence avec ses valeurs et décide avec objectivité. Pas de crise d’exemplarité donc comme on l’entend souvent, mais une crise de charisme. L’absence de conscience de soi apparaît comme le
point noir qui grève lourdement la qualité des relations. Comment développer des relations humaines pour en faire un levier de performance ? Comment mieux témoigner reconnaissance et
considération à ses équipes ? Comment réduire l’écart de perception entre son action de manager et la façon dont elle est reçue par les équipes ?