PIERRE MONIZ BARRETO est aujourd'hui responsable du projet de réhabilitation mené par la Société Immobilière de l’Abbaye de Bassac (région de Cognac) qui prépare la reconversion de cette Abbaye du XIe siècle en un centre thématique d’activités culturelles, sociales et spirituelles équipé d’une nouvelle capacité d’hébergement.

Il est diplômé d’études supérieures de commerce, de théologie et de philosophie (cycle international de l’Institut Supérieur de Gestion ; Facultés jésuites de Paris et Bruxelles).

PIERRE MONIZ BARRETO a d’abord exercé des responsabilités en marketing stratégique et communication institutionnelle dans de grands groupes tels que Thomson, Le Club Méditerranée, Akzo-Nobel ou Coisne-Lambert, en France et à l’étranger (Portugal, Belgique, etc.).
A partir de l’an 2000, il a exercé des responsabilités en business development, animation de réseaux, et management de projets, dans divers secteurs d’activité à caractère culturel et spirituel. Il a été responsable marketing & développement d’une maison d’édition protestante, secrétaire général d’un groupement de 65 librairies catholiques, puis délégué général d’une organisation patronale œcuménique de 2000 membres (jusqu’en 2011).

PIERRE MONIZ BARRETO a aussi été, de 2004 à 2011, enseignant en Ethique des affaires, Finalité des entreprises, Gouvernance Responsable, et Réforme du capitalisme & Développement durable auprès d’étudiants en MBA & Masters spécialisés (filières Entrepreneuriat, Marketing & Innovation, Développement Durable) à l'ISG et à l'ISEP (Paris).

PIERRE MONIZ BARRETO est l’auteur de Slow Business, ralentir au travail et en finir avec le temps toxique (Eyrolles, 2015) qui connait un succès inattendu depuis sa publication (24 retombées médias et 14 demandes d’interventions dans les mois qui ont suivi ; aux niveaux national, régional ou international).


Ses domaines d’interventions tournent autour des thèmes suivants :
-    Décélération au travail et détoxification de notre temps professionnel

-    Comment retrouver la maîtrise du temps à l’ère du très haut débit

- Faire le point sur la façon dont l'on conçoit et vit le temps dans l’exercice de nos activités professionnelles, en partant d’une interrogation sur le dogme de la vitesse et de la rapidité,  traditionnellement conçu comme condition de performance et de succès.

-    Faire réfléchir les entrepreneurs / dirigeants / managers sur les modes temporels qui sont à l’œuvre dans leurs organisations.

-    Le degré d’autonomisation des salariés et son lien au degré de satisfaction au travail, d'engagement et de performance.

-    Les nouveaux modes de libération et de responsabilisation temporelle orientés aux résultats (ROWE, etc.)

-    L’adéquation entre temporalités organisationnelles et temporalités individuelles (intérêt de la chronobiologie dans l’entreprise, etc.)

-    La lutte contre le « temps toxique » en entreprise : interruptionnite ; réunionite ; urgentéisme ; présentéisme (workaholism).

-    La question de la maîtrise des rythmes et des nécessaires équilibres entre temps rapides et temps lents (courbe d’accélération fractionnée, etc.)

-    L’importance du rapport énergie-temps au regard des pratiques issues du Budo ou de la Formule 1 (relativisation de la vitesse continue par l’optimisation de la gestion de ses ressources, etc.)

-    La place cruciale de la dimension slow dans les processus décisionnels : temps de latence et de mise au point, processus de discernement, pratique du "Kairos", slow motion factor, etc.

-    L’importance montante de la déscolarisation et de la dé-linéarisation du temps professionnel en particulier pour les nouvelles générations (Y et Z)

-    La place accordée aux « temps alternatifs » dans les cycles de vie d’une entreprise, d’une équipe ou d’un individu (temps de pauses, temps d’extraction et de prise de recul, etc.)