PAUL HENRI MATHIEU peut etre disponible pour des présences lors d'événements ou des conférences relatant son parcours de sportif, le
parallèle qu'il peut y avoir avec la vie d'entreprise, et avec différents sujets qui peuvent être abordés, comme la gestion du stress, revenir après un échec, le déroulement d' une carrière
etc...
L'influence positive de l’entourage, la complémentarité des efforts, la pertinence d’un cadrage collectif. Quelle leçon d’humilité et de sens communautaire, pour tous ceux qui
cherchent à suivre la route du team-building.
Par si.robi — Mathieu WM14, CC BY-SA 2.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=33958390
Les grands champions mettent toujours en avant l’importance du collectif. Dans les sports d’équipe, ceci n’est guère surprenant. Mais, cette insistance sur le travail du groupe
existe aussi dans les sports individuels. Ainsi, Rafael Nadal n'a-t-il pas déclaré : « Quel que soit votre dévouement personnel, vous ne gagnez jamais seul ». De fait, en arrière plan de
toute victoire, se trouve un réseau d’intelligence et d’efficacité qui la rend possible et qui la valorise. Nadal, Federer ou Djokovic se déplacent en permanence avec une dizaine de personnes
(entraîneur, préparateur physique, nutritionniste, cordeur, agent, attaché de presse, etc.). Les sportifs de haut niveau savent parfaitement combien cet entourage est indispensable à leur
réussite.
Les champions ont beaucoup à nous apprendre sur de multiples sujets. Comment atteindre des niveaux élevés d’engagement dans le travail ? Comment repousser ses limites ? Comment dépasser
l’opposition entre réussite individuelle et performance collective ? Comment se situer dans un rapport dynamique aux inévitables échecs ? Comment tirer de bonnes leçons de ses erreurs et
anticiper les difficultés à venir ? Comment parvenir à un contrôle émotionnel permettant de maîtriser son stress ?
Les professionnels du sport sont confrontés à ces questions depuis leur plus jeune âge, et ils ont trouvé des solutions. Leur vision est souvent remplie de sagesse. Comme lorsque Wilander
explique : « Dans la vie, il y a les winners et les losers. Un loser est reconnaissable au fait qu’il espère qu’une victoire changera toute son existence. Et il finit non seulement par avoir peur
de perdre mais, pire encore, de gagner ». Ou encore, lorsque le tennisman suisse Stanislas Wawrinka laisse entrevoir le chemin qui l’a mené jusqu’à la victoire, à travers un tatouage sur son
avant-bras : « Échouer mieux » !
Le sport de haut niveau est orienté vers la réalisation des « hyperformances » c’est-à-dire des prouesses hors du commun, frappant les esprits de façon durable : de la perfection de la gymnaste
Nadia Comãneci aux JO de Montréal, au nouveau record du monde établi par le perchiste Renaud Lavillenie. Or, il est crucial pour les managers comme pour les éducateurs de trouver des leviers
permettant d’optimiser les performances.
D’où l’intérêt d’observer ce qui se passe dans le sport de haut niveau, et d’analyser ce que les professionnels du sport nous enseignent. Nous possédons tous des réserves latentes d’énergie,
d’enthousiasme et d’efficacité, qui ne demandent qu’à s’exprimer et qu’il faut apprendre à libérer. A cet égard, ce qui se déroule sur les terrains de sport est non seulement distrayant, mais
instructif : un vrai laboratoire à ciel ouvert.
PAUL HENRI MATHIEU découvre le tennis dès l'âge de trois ans et demi dans le garage de ses parents avant que ceux-ci ne l'inscrivent
dans un club de tennis (TC Lingolsheim, entraîné par Bertrand Perret). À l'âge de onze ans, il rejoint une section sport-études de Reims. À quatorze ans, il est inscrit à l'INSEP de
Vincennes.
Un an plus tard, PAUL HENRI MATHIEU est accepté à l'International Tennis Academy de Floride, l'école formatrice de jeunes champions. Il
s'y entraîne avec le joueur belge Xavier Malisse pendant deux ans. En 1997 il gagne l'un des plus importants tournois juniors, l'Orange Bowl Juniors, à moins de quartorze ans. En 2000, il revient
en France et est coaché par Thierry Champion ; il gagne le tournoi junior de Roland-Garros. Un mois plus tard, il est accepté en tournoi ATP.
Vainqueur en simple de quatre tournois et en double d'un tournoi sur le circuit ATP, PAUL HENRI MATHIEU atteint presque le TOP 10
mondial en 2008.
Paul-Henri Mathieu est le dernier joueur à avoir battu Pete Sampras lors du deuxième tour du tournoi de Long Island 2002 sur le score de 6-3, 6-7, 6-4. Il est également le dernier joueur à avoir
rencontré et battu Gustavo Kuerten lors du premier tour de Roland-Garros 2008 sur le score de 6-3, 6-4, 6-2. Il est l'un des sept joueurs à avoir pris au moins un set à Rafael Nadal à
Roland-Garros et l'un des vingt sur terre battue (juin 2011)
PAUL HENRI MATHIEU est membre de l'équipe de France de Coupe Davis de 2002, année durant laquelle il fut sélectionné pour la finale par
Guy Forget, à 2008.
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PAUL HENRI MATHIEU is a French tennis player. He has won four singles titles and achieved a career-high singles ranking of World No. 12
in April 2008.
Mathieu was born in Strasbourg, France. He first began playing tennis at age 3, with his older brother Pierre-Yves. Between 1997 and 2000 he trained at the Nick Bollettieri Tennis Academy in
Bradenton, Florida.
As a junior PAUL HENRI MATHIEU posted a singles record of 42–15 (and 34–12 in doubles), reaching as high as no. 6 in the world in
January 2000 (and No. 19 in doubles the same month).
PAUL HENRI MATHIEU won the boys' singles title at the 2000 French Open, (defeating Tommy Robredo in the final) and made his ATP tour
debut that July in Kitzbühel.