JEAN BAPTISTE GUEGAN : LA VOIE DE JOHNNY
Le phénomène vocal Jean-Baptiste Guégan se dirige sur la voie de Johnny et, fort du triomphe de toutes ses dates déjà réalisées, vous invite à le retrouver pour des dates privées
en France ou en Europe.
Retrouvez tous les plus grands tubes de Johnny ainsi que quelques chansons du 1er album de Jean-Baptiste Guégan, accompagné de son équipe de musiciens et choristes sur scène !
© CRÉDIT UrbanMythology
RESTER LE MÊME
Et dire que tout a commencé après un grand silence ! Celui qui a fait suite à son interprétation, gamin,
de J’la croise tous les matins lors d’un karaoké. Un silence bien vite remplacé au fil du temps par la ferveur de spectateurs bluffés par la voix. L’authenticité et la simplicité de
Jean-Baptiste Guégan feront le reste.
Puis, les scènes plus que modestes, de relais crochets en galeries commerciales ou séminaires se sont subitement transformées en Zénith enthousiastes et émus. L’artiste populaire est né. Et le
premier album Puisque c’est écrit, vendu à 300 000 exemplaires, précède d’un an à peine Rester le même qui paraît ce 18 septembre.
Ce nouvel opus, riche des textes du parolier emblématique Michel Mallory mais aussi de Slimane et Marc Lavoine, évite les faux-semblants et les chausse-trapes : Je sais bien d’où je viens/J’me
prends pas pour un autre/Il n’y a pas d’imposture/Et ce n’est que ma voix/Si lui était Jésus je ne suis qu’un apôtre/Est-ce que j’en demande trop ?
Michel Mallory signe aujourd’hui dix des douze chansons qui composent Rester le même. « Avec cet album on comprend qu’une équation incroyable s’est mise en place entre un auteur-compositeur et un
chanteur » assure
Philippe Russo, réalisateur de l’album. En résultent des titres aussi forts que Rester le même, C’est la vie d’un homme, La Dame aux yeux verts, Je joue, Mal barré…
Il n’y a qu’à se pencher sur les mots grandiloquents de C’est la vie d’un homme, soutenus par une rythmique, des cuivres, des violons pour comprendre : Je suis souvent l’animal qu’on prétend que
je suis/Car c’est toujours mon instinct qui me dicte ma vie/(…) Avec l’envie de vivre et la peur de mourir/En me posant toujours la question éternelle/ Existe-t-il un ciel ?
Ou même ceux de Mal barré qui soulignent avec ironie, le bonheur d’avoir enfin trouvé sa voie/voix. Ceux de Je joue, manifeste rock aux accents seventies. Ceux de La Dame aux yeux verts à
l’émotion renversante. Et bien sûr, ceux de Rester le même qui l’affirment haut et très fort : Si lui était Jésus, je ne suis qu’un apôtre…
Particularité de cet enregistrement : la technologie aidant et pour cause de pandémie, l’album a été réalisé « en duplex » entre la France et Nashville avec « une équipe de première division ! »
Rien moins que des musiciens rompus aux collaborations avec Billy Gibbons (ZZ Top), Don Henley (Eagles) ou Peter Frampton…
Assurément avec Rester le même, le papillon sort de sa chrysalide et assume désormais une identité forgée au fil du temps sur les scènes les plus improbables. Ce que Philippe Russo appelle «
faire ses classes ». Et pendant 17 ans, la voix de Johnny a subjugué plus d’un auditoire : « Les gens ont adhéré tout de suite au mec. Ce qui fait qu’il était prêt à endosser le rôle du
front-man. »
Et le plaisir manifeste procuré par la préparation de cet album concocté à la maison en période de confinement, Jean-Baptiste Guégan le savoure depuis la première minute. « C’est
un album très personnel, très rock et en même temps populaire. Il dit beaucoup de moi mais aussi des autres avec un effet de miroir je trouve. Certaines chansons parlent de la disparition de ma
maman, de mon enfance, d’amour, d’amitié, de temps qui passe… Dans Rester le même, Michel Mallory a su exprimer des choses très intimes. »