CHRISTOPHE ALEVEQUE est féroce, cynique, insolent.
Digne héritier de Pierre Desproges, le monde vu par Aléveque est un désastre bien
réaliste : la suprématie américaine, la classe politique, , les riches, les pauvres. Il milite pour la réhabilitation de l'homme dans la société, la réouverture des bordels.
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Dans ses sketchs, il évoque aussi en vrac la mondialisation, les vieux, l'éducation des enfants
Et quand, en costume de Zorro, il parle de l'épargne salariale et des stocks options, CHRISTOPHE ALEVEQUE est irrésistible, sans compter quand il nous propulse chez Bernard Loiseau, en Côte d'Or, histoire de donner les conseils les plus
foldingues pour partir sans payer l'addition.
En filigrane, il est toujours question d'actualité, mais le dialogue n'est jamais moralisateur ni vulgaire. CHRISTOPHE ALEVEQUE ne
s'autorise aucune errance sous la ceinture. C'est aussi pour çà que les femmes de l'assistance rient aux larmes et lui pardonnent tout !